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Comment décrocher 10 rendez-vous qualifiés par semaine

On vous présente la méthodologie de l’agence Monsieur Lead pour générer 10 rendez-vous qualifiés par semaine.

Obtenir des rendez-vous, c’est facile.

Obtenir des rendez-vous qualifiés en B2B, c’est autre chose.

Vous pouvez avoir une personne au téléphone, échanger quelques phrases, et penser que le rendez-vous est bon. Mais si cette personne n’a ni budget, ni besoin réel, ni pouvoir de décision, ni timing favorable… vous venez simplement de perdre du temps.

Et ce temps-là, vous ne le récupérerez pas.

L’objectif ici, c’est l’inverse.

Vous voulez des rendez-vous qui débouchent sur des propositions concrètes, sur des discussions sérieuses, sur des signatures.

Pas des rendez-vous “pour discuter”.

La méthode que je vous partage dans cet article, c’est celle que nous appliquons chaque jour au sein de l’agence Monsieur Lead.

Elle est pensée pour générer des rendez-vous commerciaux avec un vrai potentiel de transformation.

Pas dans 12 mois. Pas avec de la chance.

Avec méthode.

Elle tient en 8 étapes.

Pas de jargon inutile. Pas de promesse vide.

Du concret. Et une séquence que vous pouvez mettre en place en interne, ou déléguer si vous le souhaitez.

On commence.

Étape 1 : Choisir la bonne personne pour prospecter

Tout part d’ici.

Si la personne qui prospecte n’est pas la bonne, vous pouvez avoir la meilleure base de données, le meilleur script, les bons outils… Vous n’aurez pas de rendez-vous qualifiés. Ou très peu. Ou pas les bons.

Avant même de parler de fichiers ou de script, il faut décider qui sera chargé d’entrer en contact avec vos prospects.

Trois options s’offrent à vous : recruter un salarié, faire appel à un freelance, ou externaliser complètement à une agence de prospection.

Le salarié

C'est l'option retenue quand on veut internaliser sa prospection. Elle peut être efficace si vous avez déjà une bonne expérience là-dessus et un environnement adapté pour accueillir le salarié.

Voici les questions à se poser pour savoir si c'est le bon choix pour vous :

  • Êtes-vous prêt à attendre 2 à 5 mois avant d'avoir des rendez-vous ? → La montée en puissance d'un commercial interne dure généralement 3 mois avant qu'il devienne vraiment productif pour l’entreprise.
  • Avez-vous les compétences pour manager un commercial chasseur ? → C'est un salarié qui nécessite encadrement, management et motivation.
  • Avez-vous réfléchi au budget outils et formation ? → Un prospecteur sans équipement, c'est comme un soldat sans armes.

Un salarié livré à lui-même, sans formation, sans méthode et sans pilotage... c'est souvent voué à l'échec.

Résultat : vous perdez des mois en recrutement et investissez de l'argent pour des résultats décevants.

Le freelance

Certains freelances sont excellents. Ils ont une vraie culture de la vente, de l’engagement, et peuvent faire mieux qu’une équipe entière.

Mais tout dépend de la personne. Et c’est souvent là que ça bloque : difficile de savoir qui vous avez vraiment en face (surtout si vous n’avez pas prospecté à fond pour votre boite avant).

Aussi, vous misez sur une seule personne. Si elle ne tient pas le cap ou n’adhère pas à votre projet, tout s’écroule.

L’agence externalisée pour prise de rendez-vous

Une bonne agence, c’est une équipe structurée avec des outils, une méthode, des relectures, du reporting, et surtout… une capacité à alimenter continuellement votre pipeline dans le temps.

C’est aussi un cadre qui permet d’ajuster si le SDR ne matche pas. Ce n’est pas basé sur une seule personne, mais sur un système.

L’agence sera une très bonne option pour ceux qui veulent :

  1. Des rendez-vous qualifiés très rapidement (pas le temps d’attendre)
  2. Externaliser et documenter afin d’incorporer l’outbound en douceur avant une interlisation

Maintenant à vous de faire le bon choix. Mais si vous voulez des conseils plus personnalisés, vous pouvez aussi réserver un appel gratuit de 15 minutes avec nous et on vous aiguillera sur la meilleure option.

Monsieur Lead / agence de prospection B2B

Étape 2 : Sélectionner les bons profils à contacter

Vous pouvez avoir la meilleure personne pour prospecter.

Mais si elle contacte les mauvaises cibles, vous perdez votre temps — et votre argent.

C’est ici que commence le vrai travail stratégique : choisir les bons interlocuteurs à qui s’adresser.

Il ne s’agit pas de viser large.

Il s’agit de viser juste.

Identifiez vos ICP (Ideal Customer Profiles)

Un bon ICP, c’est le portrait type d’une entreprise qui a de fortes chances de devenir cliente.

Vous devez vous poser des questions simples mais précises :

  • Dans quel secteur évolue-t-elle ?
  • Quelle taille d’entreprise ?
  • Quel poste occupe l’interlocuteur ?
  • Quelle problématique rencontrent ces entreprises que vous pouvez résoudre mieux que les autres ?

Exemple : Vous vendez une solution RH ? Votre cible n’est pas “toute entreprise avec des salariés”, mais peut-être “des DRH dans des PME de 50 à 200 personnes dans le secteur du bâtiment”.

Plus vous affinez, plus vos appels seront efficaces.

Privilégiez les cibles à potentiel immédiat

Certaines cibles sont plus longues à convertir, d’autres peuvent signer vite.

Si votre objectif est de décrocher des rendez-vous qualifiés à court terme, commencez par les cibles les plus “chaudes” :

  • Entreprises en croissance
  • Marchés en tension
  • Profils récemment recrutés à un poste clé
  • Structures qui viennent de lever des fonds ou de s’implanter dans une région

Ce sont souvent celles qui ont un besoin actif, même s’il n’est pas encore exprimé.

les cibles à potentiel immédiat

Ne vous dispersez pas

Prospecter tout le monde, c’est prospecter personne.

Vous aurez moins de personnes à contacter, mais le retour sur investissement sera bien meilleur si vous ciblez les bons profils dès le départ.

Concentrez-vous donc sur les profils avec qui vous avez une réelle chance de signer des deals.

Étape 3 : Définir ce qu’est un rendez-vous qualifié

C’est une des erreurs les plus fréquentes : partir prospecter sans savoir ce qu’on cherche vraiment.

Vous décrochez un rendez-vous et vous vous réjouissez. Mais lors de l'appel commercial, vous découvrez que l'interlocuteur n'a pas le bon rôle, n'est pas dans de bonnes dispositions, ou n'a tout simplement aucun besoin ni ouverture d'esprit pour votre sujet.

Le rendez-vous a été pris trop tôt ou avec la mauvaise personne. Ou encore, comme c'est souvent le cas, aucune problématique ni intérêt n'ont été validés pendant l'appel.

Résultat : une perte de temps pour vos commerciaux, une impression de “leads pas sérieux”, et une perte de motivation côté prospecteur.

Vous devez cadrer ce que vous appelez “qualifié”

Avant de commencer la prise de contact, posez clairement les critères qui valident un rendez-vous.

Voici une base :

  • Le besoin est exprimé ou reconnu
  • La personne est décisionnaire ou peut faire remonter l’info directement
  • La taille d’entreprise est cohérente par rapport à votre solution (et son prix)

Vous pouvez bien sûr ajouter d'autres critères en complément qui seraient cohérents par rapport à votre marché.

Ces critères ne sont pas là pour faire joli. Ils servent à filtrer intelligemment avant de bloquer une demi-heure dans l’agenda de votre équipe commerciale.

Fixez un seuil de validation

Certains rendez-vous peuvent ne cocher que 2 ou 3 critères.

Vous pouvez donc fixer une grille d’évaluation simple :

ex. un rendez-vous est qualifié s’il coche au moins 3 critères sur 4.

Cela permet de maintenir la qualité tout en gardant de la flexibilité.

Monsieur Lead : Comment réussir sa prospection téléphonique

Alignez tous les intervenants sur cette définition

La personne qui prospecte, celle qui traite les rendez-vous, et celle qui pilote le projet doivent avoir la même vision du mot “qualifié”.

Sinon, vous aurez des retours du type :

“Oui mais pour moi, il n’était pas vraiment intéressé.”

“Si, il a dit qu’il réfléchissait…”

“On aurait dû attendre avant de le contacter.”

C’est ce flou qui plombe l’efficacité.

Étape 4 : Sortir une black list de personnes déjà dans le pipeline

Beaucoup l’oublient. Mais c’est une étape importante.

Avant de lancer une campagne de prospection, il faut cleaner.

Pourquoi ? Parce que recontacter une personne déjà dans le pipe, qui a déjà été appelée, relancée, ou qui a dit non clairement, c’est contre-productif.

Vous perdez du temps.

Et vous donnez l’impression de ne pas savoir ce que vous faites.

Exemple : un même DAF reçoit 3 appels de 3 personnes différentes de votre boîte. Vous avez instantanément l’image d’une entreprise mal organisée.

Identifiez les contacts déjà approchés

Regardez dans vos fichiers :

  • les entreprises qui sont déjà dans votre cycle commercial
  • les interlocuteurs qui vous ont demandé explicitement de ne plus être sollicités
  • les clients existants (oui, ça arrive)

Ces profils doivent être exclus de la campagne actuelle.

Mettez à jour votre CRM

Il faut que votre CRM ou votre outil de prospection vous permette de taguer clairement les statuts des contacts :

  • déjà contacté
  • en cours
  • à ne pas recontacter
  • blacklisté

Un prospect qui a dit non il y a 2 semaines n’est pas forcément à rappeler tout de suite. Mais dans 6 mois, peut-être. Il ne faut pas le perdre, mais il faut le sortir du pipe actif.

Protégez vos efforts commerciaux

Chaque appel compte.

Si vous gaspillez des prises de contact sur des profils déjà vus ou grillés, vous diminuez vos chances de générer des rendez-vous qualifiés.

Protégez vos efforts commerciaux

Étape 5 : Constituer la base de prospection pour avoir des rendez-vous

C’est ici que la campagne commence vraiment.

Une fois que vous avez choisi qui va prospecter, défini vos cibles et vos critères de qualification, et cleané le pipe, vous pouvez commencer à construire votre liste de prospection.

Et c’est simple : la qualité de votre base conditionne les résultats.

Si votre liste est mal ciblée, incomplète ou mal structurée, le reste ne servira à rien.

Même le meilleur prospecteur ne peut rien faire face à une base bancale.

Où trouver vos contacts ?

Il existe plusieurs sources possibles, selon vos moyens et votre marché :

  • Vos données internes : anciens leads, participants à des événements, bases issues de votre CRM.
  • LinkedIn Sales Navigator : pour filtrer précisément par fonction, taille d’entreprise, secteur…
  • Fichiers achetés ou fournis par des partenaires : à manier avec prudence

Le bon réflexe, c’est toujours de partir de vos clients actuels :

“Qui sont les entreprises qu’on veut cibler ?”

“Et qui sont les bons interlocuteurs à l’intérieur ?”

Structurez votre fichier proprement

Vous allez avoir besoin des colonnes suivantes :

  • Nom / Prénom
  • Poste
  • Email pro
  • Numéro de téléphone direct (si possible)
  • Nom de l’entreprise
  • Secteur
  • Taille de l’entreprise
  • Ville / Région (si pertinent)
  • Lien du site internet
  • Lien du profil LinkedIn

Si vous passez par une équipe ou un prestataire externe, cette structure est indispensable pour qu’ils travaillent efficacement.

Et même si vous prospectez en interne, ça permettra à vos sales de pouvoir personnaliser l’approche.

Ne cherchez pas la masse. Cherchez la pertinence.

Certains pensent qu’il faut 10 000 contacts pour commencer.

Faux.

Vous pouvez générer plus d’une dizaine de rendez-vous qualifiés avec une base de 200 à 300 contacts bien ciblés, si le message est adapté et les appels bien menés.

Ne cherchez pas la masse. Cherchez la pertinence.

Étape 6 : Enrichir la base de contacts

Avoir une liste de noms et d’entreprises ne suffit pas.

Si vous voulez vraiment décrocher des rendez-vous qualifiés, il faut enrichir chaque contact avec les bonnes informations.

C’est ce qui vous permettra d’avoir plus de décroché et de vraies conversations.

L’enrichissement, c’est quoi concrètement ?

C’est le fait de compléter chaque ligne de votre fichier avec des données utiles à la prise de contact :

  • Numéro de téléphone direct
  • Email professionnel

Exemple : appeler un DG sans numéro direct, sans savoir ce qu’il fait, ni où il en est, c’est du tir à l’aveugle (et vous allez vous prendre un gros barrage secrétaire).

Quels outils utiliser pour enrichir ?

Il existe plusieurs outils très efficaces selon votre budget et votre niveau d’exigence :

  • Fullenrich / Kaspr : la base pour des 06 en France
  • Dropcontact : simple, efficace, RGPD compliant

Pas besoin de plus. D’ailleurs juste Fullenrich fera entièrement l’affaire (c’est l’outil d’enrichissement qu’on utilise chez Monsieur Lead).

Étape 7 : Importer la liste finale dans le CRM ou l’outil de prise de contact

Vous avez maintenant une base propre, ciblée, enrichie.

Mais tant qu’elle reste dans un fichier Excel, elle ne sert à rien.

L’étape suivante, c’est de l’importer dans l’outil que vous allez utiliser pour la prise de contact : votre CRM, votre dialer ou votre outil d’automatisation.

Un import, ça se prépare

Avant d’envoyer votre fichier dans n’importe quel outil, vérifiez trois choses :

  1. La structure des colonnes : nom, prénom, poste, entreprise, téléphone, email…
  2. Les champs personnalisés : par exemple, secteur, région, taille d’entreprise – utiles pour filtrer ou personnaliser vos messages.
  3. L’étiquette ou le statut du contact : nouveau, à appeler, relancé, blacklisté…
  4. Ça permet de suivre l’évolution de chaque contact dans le temps.

Monsieur Lead : 5 étapes clés pour prospecter

Un import mal fait, c’est une base qui complique le travail du commercial.

Choisissez le bon outil

Selon votre organisation, vous pouvez utiliser :

  • Un CRM (Hubspot, Pipedrive, Sellsy, NoCRM…) → pour le suivi global
  • Un outil de phoning ou dialer (Aircall, Ringover, Minari…) → pour les appels
  • Un outil d’emailing ou de séquences (Lemlist, LaGrowthMachine, Instantly…) → pour le multicanal si vous en faites

Si vous êtes une petite équipe ou en solo, un bon CRM bien structuré avec un outil de phoning connecté suffit largement pour commencer.

Règle d’or : ne surchargez pas

Ne balancez pas 5 000 contacts d’un coup dans l’outil.

Importez des blocs cohérents (ex. : 200 à 300 contacts par campagne), avec des filtres précis.

Vous pourrez mieux suivre les résultats, et votre commercial sera plus sharp dans ses conversations.

Étape 8 : Effectuer 100 appels de prospection pour 2 à 3 rendez-vous générés

C’est maintenant que le vrai test commence.

Tout ce que vous avez mis en place avant — la sélection des cibles, la base enrichie, le bon outil — ne sert à rien si les appels ne sont pas passés.

Donc on va appeler, mais avec le bon volume et les bons objectifs 👇

Pourquoi 100 appels ?

Parce que c’est un volume qui permet d’avoir assez dec.

Sur 100 appels, voici ce qu’on observe généralement :

  • 10 à 15 personnes décrochent
  • 2 ou 3 sont en réunion ou vous raccrochent au nez
  • 2 ou 3 vous disent qu’ils ne sont pas intéressés
  • 2 ou 3 sont déjà accompagnés ou ont internalisé
  • Et 2 à 3 sont dans le bon timing, avec un vrai besoin identifié

Ce sont ces 2 à 3 contacts qui génèrent les rendez-vous qualifiés.

Ceux pour lesquels tout le process a été construit.

Quotidien ou hebdo ?

Tout dépend de ce que vous pouvez investir :

  • 100 appels par jour : adapté pour une entreprise qui a des gros besoins de scaling (et surtout la capacité à absorber 2-3 nouveauxx rendez-vous par jour)
  • 100 appels par semaine : cohérent pour la plupart des entreprises.

Le plus important, ce n’est pas juste le volume.

C’est la régularité.

On veut alimenter continuellement votre pipeline car c’est ainsi que vous allez développer votre structure.

Ce qui fait la différence pendant l’appel

  • La posture : calme, claire, directe
  • La voix : posée, confiante, sans être agressive
  • Le timing : ne cherchez pas à vendre, cherchez à qualifier
  • Les questions : simples, mais bien posées
  • Le respect du script : il sert de cadre, pas de prison

Et surtout, soyez à l’aise avec le fait que 95 % des appels ne donnent pas rendez-vous.

C’est normal, c’est ça la téléprospection.

Ce qui compte, c’est de garder une méthode constante qui produit, semaine après semaine, les 5 à 10 % de rendez-vous qui comptent.

Conclusion : comment obtenir 10 rendez-vous qualifiés par semaine

Un rendez-vous qualifié, ce n’est pas une question de chance.

C’est le résultat d’un enchaînement rigoureux, maîtrisé, et reproductible.

Si vous sautez une étape, vous risquez de perdre du temps, de cramer vos fichiers, ou de frustrer vos équipes commerciales.

Mais si vous suivez cette méthode étape par étape — du choix de la bonne personne jusqu’à l’exécution des appels — vous mettez toutes les chances de votre côté pour décrocher des rendez-vous qui peuvent réellement se transformer en clients.

C’est ce qu’on applique chez Monsieur Lead.

Pas de promesses creuses. Pas de volumes pour faire joli.

Juste une méthode pensée pour livrer à nos clients des rendez-vous concrets chaque semaine grâce à du bon cold call.

Si vous cherchez à structurer votre prospection, ou à la déléguer de A à Z avec des résultats prévisibles, on peut en discuter.

👉 Prenez rendez-vous avec un expert de l’agence Monsieur Lead.

On vous montre comment on peut faire la même chose pour vous.

Monsieur Lead  Agence de prospetcion BB

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