On s’occupe de votre prospection.
JE VEUX EN DISCUTEROn vous présente la méthodologie de l’agence Monsieur Lead pour générer 10 rendez-vous qualifiés par semaine.
Obtenir des rendez-vous, c’est facile.
Obtenir des rendez-vous qualifiés en B2B, c’est autre chose.
Vous pouvez avoir une personne au téléphone, échanger quelques phrases, et penser que le rendez-vous est bon. Mais si cette personne n’a ni budget, ni besoin réel, ni pouvoir de décision, ni timing favorable… vous venez simplement de perdre du temps.
Et ce temps-là, vous ne le récupérerez pas.
L’objectif ici, c’est l’inverse.
Vous voulez des rendez-vous qui débouchent sur des propositions concrètes, sur des discussions sérieuses, sur des signatures.
Pas des rendez-vous “pour discuter”.
La méthode que je vous partage dans cet article, c’est celle que nous appliquons chaque jour au sein de l’agence Monsieur Lead.
Elle est pensée pour générer des rendez-vous commerciaux avec un vrai potentiel de transformation.
Pas dans 12 mois. Pas avec de la chance.
Avec méthode.
Elle tient en 8 étapes.
Pas de jargon inutile. Pas de promesse vide.
Du concret. Et une séquence que vous pouvez mettre en place en interne, ou déléguer si vous le souhaitez.
On commence.
Tout part d’ici.
Si la personne qui prospecte n’est pas la bonne, vous pouvez avoir la meilleure base de données, le meilleur script, les bons outils… Vous n’aurez pas de rendez-vous qualifiés. Ou très peu. Ou pas les bons.
Avant même de parler de fichiers ou de script, il faut décider qui sera chargé d’entrer en contact avec vos prospects.
Trois options s’offrent à vous : recruter un salarié, faire appel à un freelance, ou externaliser complètement à une agence de prospection.
C'est l'option retenue quand on veut internaliser sa prospection. Elle peut être efficace si vous avez déjà une bonne expérience là-dessus et un environnement adapté pour accueillir le salarié.
Voici les questions à se poser pour savoir si c'est le bon choix pour vous :
Un salarié livré à lui-même, sans formation, sans méthode et sans pilotage... c'est souvent voué à l'échec.
Résultat : vous perdez des mois en recrutement et investissez de l'argent pour des résultats décevants.
Certains freelances sont excellents. Ils ont une vraie culture de la vente, de l’engagement, et peuvent faire mieux qu’une équipe entière.
Mais tout dépend de la personne. Et c’est souvent là que ça bloque : difficile de savoir qui vous avez vraiment en face (surtout si vous n’avez pas prospecté à fond pour votre boite avant).
Aussi, vous misez sur une seule personne. Si elle ne tient pas le cap ou n’adhère pas à votre projet, tout s’écroule.
Une bonne agence, c’est une équipe structurée avec des outils, une méthode, des relectures, du reporting, et surtout… une capacité à alimenter continuellement votre pipeline dans le temps.
C’est aussi un cadre qui permet d’ajuster si le SDR ne matche pas. Ce n’est pas basé sur une seule personne, mais sur un système.
L’agence sera une très bonne option pour ceux qui veulent :
Maintenant à vous de faire le bon choix. Mais si vous voulez des conseils plus personnalisés, vous pouvez aussi réserver un appel gratuit de 15 minutes avec nous et on vous aiguillera sur la meilleure option.
Vous pouvez avoir la meilleure personne pour prospecter.
Mais si elle contacte les mauvaises cibles, vous perdez votre temps — et votre argent.
C’est ici que commence le vrai travail stratégique : choisir les bons interlocuteurs à qui s’adresser.
Il ne s’agit pas de viser large.
Il s’agit de viser juste.
Un bon ICP, c’est le portrait type d’une entreprise qui a de fortes chances de devenir cliente.
Vous devez vous poser des questions simples mais précises :
Exemple : Vous vendez une solution RH ? Votre cible n’est pas “toute entreprise avec des salariés”, mais peut-être “des DRH dans des PME de 50 à 200 personnes dans le secteur du bâtiment”.
Plus vous affinez, plus vos appels seront efficaces.
Certaines cibles sont plus longues à convertir, d’autres peuvent signer vite.
Si votre objectif est de décrocher des rendez-vous qualifiés à court terme, commencez par les cibles les plus “chaudes” :
Ce sont souvent celles qui ont un besoin actif, même s’il n’est pas encore exprimé.
Prospecter tout le monde, c’est prospecter personne.
Vous aurez moins de personnes à contacter, mais le retour sur investissement sera bien meilleur si vous ciblez les bons profils dès le départ.
Concentrez-vous donc sur les profils avec qui vous avez une réelle chance de signer des deals.
C’est une des erreurs les plus fréquentes : partir prospecter sans savoir ce qu’on cherche vraiment.
Vous décrochez un rendez-vous et vous vous réjouissez. Mais lors de l'appel commercial, vous découvrez que l'interlocuteur n'a pas le bon rôle, n'est pas dans de bonnes dispositions, ou n'a tout simplement aucun besoin ni ouverture d'esprit pour votre sujet.
Le rendez-vous a été pris trop tôt ou avec la mauvaise personne. Ou encore, comme c'est souvent le cas, aucune problématique ni intérêt n'ont été validés pendant l'appel.
Résultat : une perte de temps pour vos commerciaux, une impression de “leads pas sérieux”, et une perte de motivation côté prospecteur.
Avant de commencer la prise de contact, posez clairement les critères qui valident un rendez-vous.
Voici une base :
Vous pouvez bien sûr ajouter d'autres critères en complément qui seraient cohérents par rapport à votre marché.
Ces critères ne sont pas là pour faire joli. Ils servent à filtrer intelligemment avant de bloquer une demi-heure dans l’agenda de votre équipe commerciale.
Certains rendez-vous peuvent ne cocher que 2 ou 3 critères.
Vous pouvez donc fixer une grille d’évaluation simple :
ex. un rendez-vous est qualifié s’il coche au moins 3 critères sur 4.
Cela permet de maintenir la qualité tout en gardant de la flexibilité.
La personne qui prospecte, celle qui traite les rendez-vous, et celle qui pilote le projet doivent avoir la même vision du mot “qualifié”.
Sinon, vous aurez des retours du type :
“Oui mais pour moi, il n’était pas vraiment intéressé.”
“Si, il a dit qu’il réfléchissait…”
“On aurait dû attendre avant de le contacter.”
C’est ce flou qui plombe l’efficacité.
Beaucoup l’oublient. Mais c’est une étape importante.
Avant de lancer une campagne de prospection, il faut cleaner.
Pourquoi ? Parce que recontacter une personne déjà dans le pipe, qui a déjà été appelée, relancée, ou qui a dit non clairement, c’est contre-productif.
Vous perdez du temps.
Et vous donnez l’impression de ne pas savoir ce que vous faites.
Exemple : un même DAF reçoit 3 appels de 3 personnes différentes de votre boîte. Vous avez instantanément l’image d’une entreprise mal organisée.
Regardez dans vos fichiers :
Ces profils doivent être exclus de la campagne actuelle.
Il faut que votre CRM ou votre outil de prospection vous permette de taguer clairement les statuts des contacts :
Un prospect qui a dit non il y a 2 semaines n’est pas forcément à rappeler tout de suite. Mais dans 6 mois, peut-être. Il ne faut pas le perdre, mais il faut le sortir du pipe actif.
Chaque appel compte.
Si vous gaspillez des prises de contact sur des profils déjà vus ou grillés, vous diminuez vos chances de générer des rendez-vous qualifiés.
C’est ici que la campagne commence vraiment.
Une fois que vous avez choisi qui va prospecter, défini vos cibles et vos critères de qualification, et cleané le pipe, vous pouvez commencer à construire votre liste de prospection.
Et c’est simple : la qualité de votre base conditionne les résultats.
Si votre liste est mal ciblée, incomplète ou mal structurée, le reste ne servira à rien.
Même le meilleur prospecteur ne peut rien faire face à une base bancale.
Il existe plusieurs sources possibles, selon vos moyens et votre marché :
Le bon réflexe, c’est toujours de partir de vos clients actuels :
“Qui sont les entreprises qu’on veut cibler ?”
“Et qui sont les bons interlocuteurs à l’intérieur ?”
Vous allez avoir besoin des colonnes suivantes :
Si vous passez par une équipe ou un prestataire externe, cette structure est indispensable pour qu’ils travaillent efficacement.
Et même si vous prospectez en interne, ça permettra à vos sales de pouvoir personnaliser l’approche.
Certains pensent qu’il faut 10 000 contacts pour commencer.
Faux.
Vous pouvez générer plus d’une dizaine de rendez-vous qualifiés avec une base de 200 à 300 contacts bien ciblés, si le message est adapté et les appels bien menés.
Avoir une liste de noms et d’entreprises ne suffit pas.
Si vous voulez vraiment décrocher des rendez-vous qualifiés, il faut enrichir chaque contact avec les bonnes informations.
C’est ce qui vous permettra d’avoir plus de décroché et de vraies conversations.
C’est le fait de compléter chaque ligne de votre fichier avec des données utiles à la prise de contact :
Exemple : appeler un DG sans numéro direct, sans savoir ce qu’il fait, ni où il en est, c’est du tir à l’aveugle (et vous allez vous prendre un gros barrage secrétaire).
Il existe plusieurs outils très efficaces selon votre budget et votre niveau d’exigence :
Pas besoin de plus. D’ailleurs juste Fullenrich fera entièrement l’affaire (c’est l’outil d’enrichissement qu’on utilise chez Monsieur Lead).
Vous avez maintenant une base propre, ciblée, enrichie.
Mais tant qu’elle reste dans un fichier Excel, elle ne sert à rien.
L’étape suivante, c’est de l’importer dans l’outil que vous allez utiliser pour la prise de contact : votre CRM, votre dialer ou votre outil d’automatisation.
Avant d’envoyer votre fichier dans n’importe quel outil, vérifiez trois choses :
Un import mal fait, c’est une base qui complique le travail du commercial.
Selon votre organisation, vous pouvez utiliser :
Si vous êtes une petite équipe ou en solo, un bon CRM bien structuré avec un outil de phoning connecté suffit largement pour commencer.
Ne balancez pas 5 000 contacts d’un coup dans l’outil.
Importez des blocs cohérents (ex. : 200 à 300 contacts par campagne), avec des filtres précis.
Vous pourrez mieux suivre les résultats, et votre commercial sera plus sharp dans ses conversations.
C’est maintenant que le vrai test commence.
Tout ce que vous avez mis en place avant — la sélection des cibles, la base enrichie, le bon outil — ne sert à rien si les appels ne sont pas passés.
Donc on va appeler, mais avec le bon volume et les bons objectifs 👇
Parce que c’est un volume qui permet d’avoir assez dec.
Sur 100 appels, voici ce qu’on observe généralement :
Ce sont ces 2 à 3 contacts qui génèrent les rendez-vous qualifiés.
Ceux pour lesquels tout le process a été construit.
Tout dépend de ce que vous pouvez investir :
Le plus important, ce n’est pas juste le volume.
C’est la régularité.
On veut alimenter continuellement votre pipeline car c’est ainsi que vous allez développer votre structure.
Et surtout, soyez à l’aise avec le fait que 95 % des appels ne donnent pas rendez-vous.
C’est normal, c’est ça la téléprospection.
Ce qui compte, c’est de garder une méthode constante qui produit, semaine après semaine, les 5 à 10 % de rendez-vous qui comptent.
Un rendez-vous qualifié, ce n’est pas une question de chance.
C’est le résultat d’un enchaînement rigoureux, maîtrisé, et reproductible.
Si vous sautez une étape, vous risquez de perdre du temps, de cramer vos fichiers, ou de frustrer vos équipes commerciales.
Mais si vous suivez cette méthode étape par étape — du choix de la bonne personne jusqu’à l’exécution des appels — vous mettez toutes les chances de votre côté pour décrocher des rendez-vous qui peuvent réellement se transformer en clients.
C’est ce qu’on applique chez Monsieur Lead.
Pas de promesses creuses. Pas de volumes pour faire joli.
Juste une méthode pensée pour livrer à nos clients des rendez-vous concrets chaque semaine grâce à du bon cold call.
Si vous cherchez à structurer votre prospection, ou à la déléguer de A à Z avec des résultats prévisibles, on peut en discuter.
👉 Prenez rendez-vous avec un expert de l’agence Monsieur Lead.
On vous montre comment on peut faire la même chose pour vous.
Nous générons des opportunités commerciales en appelant vos prospects et en bloquant des rendez-vous qualifiés sur vos plages horaires.